Beaucoup a déjà été écrit et dit sur les revêtements antiadhésifs sains. En tant que pionniers dans le domaine des revêtements antiadhésifs céramiques sans PFAS, nous vous aidons à distinguer la réalité de la fiction! Nous passons au crible ces allégations trompeuses pour vous.
« Ce revêtement antiadhésif est 100% végétalien. »
« Ce revêtement antiadhésif est 100% végétalien. »
Une revêtement antiadhésif végétalien signifie par définition qu'il s'agit d'un revêtement antiadhésif dont les matériaux ne sont pas dérivés de produits animaux et n'ont pas été testés sur des animaux. L'utilisation du terme « végétalien » pour décrire un revêtement antiadhésif peut être trompeuse, car les matières premières des revêtements antiadhésifs ne sont généralement pas dérivées de sources animales. Décrire un revêtement antiadhésif comme végétalien pourrait laisser entendre au consommateur que les autres revêtements antiadhésifs sont dérivés de produits animaux. De même, certaines boissons gazeuses pourraient être qualifiées de végétaliennes. En d'autres termes, le terme « végétalien » n'implique pas toujours qu'un produit est une alternative plus saine.
« Le revêtement est 100% exempt de produits chimiques. »
« Le revêtement est 100% exempt de produits chimiques. »
Toutes les substances formées par des réactions entre des atomes ou des molécules sont des produits chimiques. Prenons l'exemple du sel de cuisine (NaCl) et de l'eau (H2O). Le glucose est également un produit chimique. Il est formé par photosynthèse à partir du dioxyde de carbone et de l'eau, la lumière du soleil fournissant l'énergie nécessaire à la réaction. Tous les revêtements antiadhésifs sont fabriqués à partir de matières premières qui ont subi des transformations chimiques et ne peuvent donc pas être considérés comme exempts de produits chimiques. Il est préférable de vérifier quels types de matières premières sont utilisés et d'où ils proviennent. Les produits chimiques utilisés dans la transformation des matières premières sont-ils des polluants persistants qui peuvent être nocifs pour l'homme, les animaux et l'environnement?
« Ce revêtement ne colle pas grâce à sa teneur en huile d'olive. »
« Ce revêtement ne colle pas grâce à sa teneur en huile d'olive. »
Il est peu probable que les propriétés antiadhésives soient exclusivement dues à des huiles naturelles telles que l'huile d'olive. Cette huile ne pourrait être ajoutée qu'en petites « quantités commerciales », sinon le test de migration effectué par un laboratoire externe ne permettrait probablement pas de démontrer qu'elle répond aux exigences de sécurité applicables aux matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires. De plus, les huiles naturelles ont un point de fumée relativement bas, ce qui signifie qu'elles s'oxydent facilement et deviennent collantes aux températures requises pour la cuisson et la friture. Elles seraient également susceptibles d'être éliminées par les détergents lors du lavage. Cela signifie que dans un revêtement antiadhésif durable, d'autres matériaux que les huiles naturelles sont probablement utilisés pour empêcher les aliments d'adhérer.
« La surface de cuisson est en huile d'olive. »
« La surface de cuisson est en huile d'olive. »
Si la surface de cuisson contenait réellement de l'huile d'olive, qu'est-ce qui empêcherait cette huile de se mélanger aux aliments pendant la cuisson ? Ou d'être éliminée plus tard lors du lavage par le produit vaisselle, tout comme l'huile que vous versez dans la poêle avant de cuisiner? Une surface de cuisson contenant de l'huile naturelle est peu probable. Les seules exceptions sont les poêles en fonte ou en acier au carbone qui ont été culottées. Pendant le culottage, l'huile est transformée par la chaleur et l'oxydation et forme une patine au fil du temps.
« Le revêtement ne colle pas grâce à l'ajout d'huile d'avocat. »
« Le revêtement ne colle pas grâce à l'ajout d'huile d'avocat. »
Il est peu probable que les propriétés antiadhésives d'une poêle soient uniquement dues à des huiles naturelles telles que l'huile d'avocat. Cette huile ne pourrait être ajoutée qu'en petites « quantités commerciales », sinon le test de migration effectué par un laboratoire externe ne permettrait probablement pas de démontrer qu'elle répond aux exigences de sécurité applicables aux matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires. De plus, les huiles naturelles ont un point de fumée relativement bas, ce qui signifie qu'elles s'oxydent facilement et deviennent collantes aux températures requises pour la cuisson et la friture. Elles seraient également susceptibles d'être éliminées par les détergents lors du lavage. Cela signifie que les revêtements antiadhésifs durables sont probablement composés principalement d'autres matériaux que des huiles naturelles pour empêcher les aliments d'adhérer.
« Cette surface de cuisson est faite à partir d'huile d'avocat. »
« Cette surface de cuisson est faite à partir d'huile d'avocat. »
Si la surface de cuisson contenait réellement de l'huile d'avocat, qu'est-ce qui empêcherait cette huile de se mélanger aux aliments pendant la cuisson ? Ou d'être éliminée plus tard lors du lavage par le produit vaisselle, tout comme l'huile que vous versez dans la poêle avant de cuisiner? Une surface de cuisson contenant de l'huile naturelle est peu probable. Les seules exceptions sont les poêles en fonte ou en acier au carbone qui ont été culottées. Pendant le culottage, l'huile est transformée par la chaleur et l'oxydation et forme une patine au fil du temps.
« Les revêtements en PTFE ne contiennent pas de PFOA et sont donc 100% sûrs et sains. »
« Les revêtements en PTFE ne contiennent pas de PFOA et sont donc 100% sûrs et sains. »
En effet, depuis le 4 juillet 2020, le règlement européen 2017/1000 limite la teneur en PFOA dans la production et dans les produits finis à 25 parties par milliard (25 ppb). Aux États-Unis, la proposition 65 de Californie interdit également l'utilisation du PFOA. Par conséquent, la mention « sans PFOA » dans la publicité est considérée comme une allégation écologique trompeuse. De plus, on passe sous silence le fait que lorsque le PFOA a été progressivement supprimé par l'EPA (l'agence fédérale américaine pour la protection de l'environnement), les fabricants de revêtements fluoropolymères ont remplacé le PFOA (C8) par des substances analogues au C6 d'ici 2015. Ces substances ont ensuite été considérées comme un « substitut regrettable », car leurs propriétés environnementales et leurs profils toxicologiques sont très similaires à ceux du PFOA. Tout comme le PTFE, les adjuvants C8 et C6 font partie d'un groupe de substances chimiques appelées PFAS. Les émissions de ces substances lors de la fabrication des dispersions de PTFE déclenchent une chaîne de pollutions environnementales qui se retrouvent dans la chaîne alimentaire et l'eau potable, où elles sont pratiquement impossibles à dégrader. D'où leur surnom de « produits chimiques éternels ». Bien que les fabricants internationaux de dispersions de PTFE n'utilisent plus le C8, cette substance reste largement répandue dans l'environnement. Un revêtement antiadhésif à base de PTFE sans PFOA n'est donc toujours pas sûr ni sain. Mais ce n'est pas tout : même sans utilisation de PFOA (ou d'autres adjuvants pour la production des dispersions de PTFE), le PTFE peut se décomposer en cas de surchauffe et libérer des substances très toxiques. C'est ce que démontrent des études scientifiques. C'est pourquoi il est parfois recommandé de bien aérer la cuisine lors de l'utilisation de casseroles avec un revêtement antiadhésif en PTFE.
En Californie, la réglementation AB1200 oblige depuis le 1er janvier 2023 les fabricants à indiquer sur leur site web si les surfaces de cuisson et les poignées contiennent des substances PFAS, y compris le PTFE. À partir du 1er janvier 2024, cette information devra également figurer sur l'emballage des produits. En Europe, des restrictions sur l'utilisation des PFAS (tant le PTFE lui-même que les additifs utilisés dans la fabrication) devraient entrer en vigueur début 2025, avec une période de transition de seulement 18 mois.
L'allégation « sans PFOA » vous semble-t-elle toujours être une garantie de sécurité ?
« Les revêtements PTFE ne contiennent pas de PFOS et sont donc 100% sûrs et sains. »
« Les revêtements PTFE ne contiennent pas de PFOS et sont donc 100% sûrs et sains. »
En effet, depuis le 4 juillet 2020, le règlement européen 2017/1000 limite la teneur en PFOS dans la production et dans les produits finis à 25 parties par milliard (25 ppb). Aux États-Unis, la California Proposition 65 interdit également l'utilisation du PFOS. Par conséquent, la mention « sans PFOS » dans la publicité à des fins écologiques est considérée comme une pratique commerciale trompeuse. De plus, on passe sous silence le fait que le PFOS a été progressivement éliminé d'ici 2015 dans le cadre du Voluntary Stewardship Program (programme de gestion volontaire) de l'agence fédérale américaine pour l'environnement.
Tout comme le PTFE, les adjuvants tels que le PFOS font partie d'un groupe de substances chimiques appelées PFAS. Les émissions de ces substances lors de la fabrication des dispersions de PTFE déclenchent une chaîne de pollutions environnementales qui se retrouvent dans la chaîne alimentaire et l'eau potable, où elles sont pratiquement impossibles à dégrader. D'où leur surnom de « substances chimiques éternelles ». Bien que les fabricants internationaux de dispersions de PTFE n'utilisent plus de PFOS, ces derniers restent largement répandus dans l'environnement. Un revêtement antiadhésif en PTFE sans PFOS n'est donc toujours pas sûr ni sain. Et ce n'est pas tout : même sans PFOS, le PTFE peut se décomposer en cas de surchauffe et libérer des substances très toxiques. C'est ce que démontrent des études scientifiques. C'est pourquoi il est parfois recommandé de bien aérer la cuisine lors de l'utilisation de casseroles avec un revêtement antiadhésif en PTFE.
En Californie, la réglementation AB1200 oblige depuis le 1er janvier 2023 les fabricants à indiquer sur leur site web si les surfaces de cuisson et les poignées contiennent des substances PFAS, y compris le PTFE. À partir du 1er janvier 2024, cette information devra également figurer sur l'emballage des produits. En Europe, des restrictions sur l'utilisation des PFAS (tant le PTFE lui-même que les additifs utilisés dans la fabrication) devraient entrer en vigueur début 2025, avec une période de transition de seulement 18 mois.
L'allégation « sans PFOS » vous semble-t-elle toujours être une garantie de sécurité ?
« La couche Thermolon de GreenPan contient des substances toxiques »
« La couche Thermolon de GreenPan contient des substances toxiques »
Des tests effectués par des tiers ont démontré que le revêtement antiadhésif Thermolon de votre GreenPan peut être utilisé en toute sécurité. Il est conforme à la réglementation internationale relative aux matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires. Cette réglementation stipule que la surface de cuisson ne doit libérer aucune substance susceptible d'altérer les aliments ou d'être nocive pour les humains ou les animaux. Aucune substance nocive ne doit se retrouver dans vos aliments : c'est une exigence fondamentale. Nous allons encore plus loin. Des laboratoires d'essai externes agréés confirment que nos revêtements Thermolon ne contiennent aucune « substance extrêmement préoccupante » (Substance of Very High Concern) selon le règlement européen REACH (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques). De plus, en cas de surchauffe, par exemple lorsqu'une casserole cuit accidentellement à sec, Thermolon ne dégage aucune vapeur toxique, même à des températures pouvant atteindre 454 °C. Cela a également été démontré par des tests effectués par des tiers.
Des rumeurs ont circulé sur Internet selon lesquelles Thermolon contiendrait certaines substances chimiques toxiques. Il s'agit de silanes (tels que le méthyltriméthoxysilane et les alcoxydes de silicium tels que le tétraéthoxysilane, le titanate de potassium et l'oxyde d'aluminium). Nous confirmons que la surface de cuisson Thermolon de votre GreenPan qui entre en contact avec les aliments ne contient aucun de ces produits chimiques.
Nous voulons faire encore plus pour informer nos clients sur la composition de leurs ustensiles de cuisine. Vous avez trouvé une allégation douteuse ou fantaisiste?
Faites-le-nous savoir!